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Les objets télécommandés ont le vent en poupe. Et les planches de sauvetage en milieu aquatique ne sont pas en reste. S’il existe déjà sur le marché un certain nombre de modèles de planches de sauvetage télécommandées, celle-ci se distingue notamment par la présence d’un arceau gonflable.

Comment savoir si la manœuvre de Heimlich effectuée en formation est efficace ? La société Act Fast a trouvé la solution avec l’« Anti-choking trainer ». Un dispositif qui permet d’apprendre ces gestes de manière simple et ludique.

L’application Quickgrid permet de visualiser sa localisation précise grâce à une carte quadrillée. Alternative bon marché aux balises GPS, cet outil doit permettre aux services de secours d’arriver au plus vite auprès de la victime.

La société OneUp Saves a lancé en octobre 2018 sa bouée de sauvetage légère et compacte permettant de sauver rapidement une personne de la noyade. Elle est utilisée
par différent services de secours européens.

Face à l’augmentation du nombre d’appels reçus par les agents du SAMU, l’entreprise Exos a développé des logiciels pour essayer de faciliter le travail des agents de régulation médicale (ARM). Les données collectées à chaque appel peuvent aider à accélérer la prise en charge.

La société d’ambulance Bereau-Duchaine a fait l’acquisition en juillet 2018 d’un nouveau véhicule. Développée en partenariat avec le carrossier Miesen, cette ambulance communicante doit être capable à terme de télétransmettre des données à la régulation médicale.

La Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) s’est dotée d’un robot d’extinction à distance (REX). Après une première phase de tests, le REX est opérationnel depuis 2017. Premier Retex suite à trois interventions qu’il a pu mener à bien en 2018.

Dispositif individuel d’alerte et de localisation, le DIAL a été développé par la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM), en partenariat avec Ido-Data, start-up spécialisée dans la conception d’objets connectés. Il vise à retrouver dans les meilleurs délais des pratiquants d’activités nautiques.

Depuis près de trois ans, le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) travaille sur un outil de simulation de dispersion d’agents nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques rejetés dans l’atmosphère suite à un accident ou une attaque terroriste. Utilisé à l’origine pour les besoins internes du CEA, il a été adapté pour les services de secours sur le terrain.

Responsabiliser le citoyen au sein de la chaîne de secours et optimiser l’utilisation des défibrillateurs publics, tel est l’objectif du réseau DEFIBRIL-JURA qui soufflera bientôt sa première bougie