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Secouriste Magazine n°29 est disponible

Le numéro 29 de Secouriste Magazine est à présent disponible en version papier et numérique.

Sommaire

DÉCRYPTAGE

Actus :

  • Toute l’actualité et les rendez-vous du secourisme

Médias :

  • Livres, bandes dessinées, Web, courrier des lecteurs

Pour ou contre :

  • La mutualisation des numéros d’urgence

Enquête :

  • Service civique : un nouvel élan ?

Interview :

  • Capitaine David Peneaud, BSPP

PROFESSION SECOURISTE

Une garde avec :

  • Le Festival de Loire, un DPS interassociatif

Secouristes du monde :

  • Le Luxembourg : des secours en mutation

Portrait :

  • Lieutenant José Rosello, sapeur-pompier dans le Gard

Focus :

  • Colloque EPRUS
  • 191 et 196 : des numéros d’urgence… très relative

Formation :

  • Prévention et secours du sport de niveau 1 (PSS1)

SST :

  • Télécommunications : des risques à tous les étages

CAHIER DES EXPERTS

Un geste à la loupe :

  • L’arrêt cardio-respiratoire du nourrisson

Au-delà du référentiel :

  • Crush syndrome, par le Dr François Topin

Chef d’équipe :

  • Le PAPS, par Jérôme Gilardeau

Psychologie :

  • La dissonance cognitive, par Marie Bonnet

ÉQUIPEMENT

Innovations :

  • L’actualité du matériel de secours

Dossier :

  • Inondations : sauvetage en eau trouble

Zoom :

  • Dexpert : solution désinfectante pour ambulances
  • FreeStyle Libre : la glycémie sans piqûre

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Éditorial

Le 22 à Asnières

Cette célèbre réplique de l’un des plus grands noms de l’humour des années 1960 trouve un écho tout à fait particulier dans la passe d’armes qui se déroule actuellement autour des numéros d’urgence. Dans son sketch, raillant les nouvelles technologies de l’époque, Fernand Raynaud estimait plus simple de transiter par New York pour joindre le « 22 à Asnières ». Passons sur l’étonnante coïncidence du choix de l’humoriste pour la ville qui héberge pour quelques semaines encore la Direction générale de la sécurité civile…

15, 17, 18, 112, 114, 191, 196 et bientôt – peut-être – le 113 (lire pages 4 et 8)… La simple énumération de cette liste provoque, chez toute personne normalement constituée, l’abaissement naturel du menton et l’écarquillement incontrôlable des yeux, signes manifestes d’un état de stupeur avancée.

Mais surtout, cette multiplication des numéros engendre nécessairement des erreurs d’orientation et des pertes de temps délétères pour les victimes. Avec les trois numéros historiques, l’affaire n’était déjà pas si simple. D’où l’idée, semble-t-il intelligente, de les rassembler au profit d’un numéro unique : le 112. Idée d’autant plus intéressante qu’elle dépasse nos étroites frontières pour s’appuyer sur une culture commune européenne naissante ! Bien entendu, cette belle idée doit se traduire dans les faits par une efficacité dans la recherche et le déclenchement du bon service. Les premières expériences montrent que des progrès doivent encore être accomplis dans ce domaine.

Nicolas Lefebvre

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